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Fool’s Gold + Afro Wild Zombies au Grand Mix

C’est sous les tropiques que nous emmènent le Grand Mix ce soir. Les Fool’s Gold étaient les invités du festival La Sauce Jack qui fêtait ses cinq ans. En première partie, ce sont les Afro Wild Zombies, vainqueurs du tremplin du festival, qui se chargent de chauffer la salle.

Sur scène, la troupe est impressionnante. Petit à petit, le public se laisse emporter par le groove africain du groupe. Mais parmi les dix musiciens, c’est Cawo (chant) qui anime le plus le show. A s’agiter dans tous les sens, transportée par sa musique, elle nous fait une véritable démonstration de danseuse africaine. Afro Wild Zombies aura amené la chaleur qu’il nous manque en ce moment. Les corps sont chauds et le groupe se retire après un salut théâtral.

Les Fool’s Gold et leurs guitares stridentes débarquent sur scène mais l’ambiance met un peu de temps à monter. C’est avec Wild Window, single du deuxième album du groupe, que tout le Grand Mix remue. Et tout le monde danse ensuite, au rythme caribéen-tropical. Et comme la salle n’est pas comble, le public a de la place pour bouger alors il en profite.
Après un petit essoufflement, Surprise Hotel vient regonfler le moral des troupes. Ça sautille, ça tournoie et ça lève les bras dans tous les sens. Fool’s Gold reçoit une ovation avant d’enchaîner une outro très agitée. Même s’il parle peu, le groupe est en communion avec son public qui l’applaudit chaleureusement.
En fin de set, alors que la salle fait les chœurs, tous les musiciens se regroupent autour de Lewis Pesacov (guitare) et achèvent le morceau en acoustique, avant de quitter la scène tout en continuant de jouer.

Le public du Grand Mix poursuit seul les chœurs pendant quelques minutes afin de faire revenir les Fool’s Gold. En remontant sur scène, le groupe reprend le titre et enchaîne son rappel avec une autre chanson plus posée.
Pour le second rappel, acclamé par la foule, Luke Top (chant/basse) lance : « You’re amazing, thank you so much ! » Le concert se termine avec Night Dancing. L’ambiance est folle : dans la salle ça s’énerve autant sur scène que parmi la foule. Et c’est sur un final en beauté que les Fool’s Gold nous disent au revoir.


 

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