Corbo délissS, nouveau rendez-vous "vintage & futuristic trip" pour une soirée 100% électro à sonorité consciemment eighties.
>> Traumabikini
Membre du reseau O.V.E., electron elastic de 15.8 pour un mix p'n p (past & present).
Groupe cold wave de la région, se séparait en 89 après la sortie de leur maxi | l’écho des lumières |. La sortie de leur compilation chez Infrastition leur donne l'occasion de retrouver la scène pour quelques concerts.
Cette sortie « 86-06 » leur a permis de reprendre là où ils s’étaient arrêtés en 89, de retravailler ensemble sur de nouveaux morceaux. l’histoire n’était donc pas finie…le concert à paris, espace curial, fut d’abord pour eux l’occasion de se revoir après 18 ans… il leur a permis aussi de se retrouver sur scène pour un concert qu’ils pensaient unique, ultime occasion de rencontrer leur public de l’époque, certes, mais aussi un public plus jeune qui n’avait jamais eu l’occasion de les voir sur scène. le plaisir de rejouer ensemble et les bonnes critiques reçues à la suite du concert leur ont donné l’envie de renouveler l’expérience, dans leur région d’origine cette fois, bien sûr ! Il serait difficile d’avancer que le groupe, à l’instar de guerre froide ou de buzz, par exemple, repart pour une seconde vie : Rémy, le guitariste, vit à l’autre bout de la France …
>> Jacquy Bitch
En 1991, jacquy bitch se lance dans une carrière solo, laissant derrière lui le groupe neva qui disparu en 1989 avec deux albums incontournables. autoproduisant deux cassettes et une video regroupant extraits de concerts et clips, jacquy bitch s'affirme comme un acteur essentiel de la scène "electro-batcave" française. remarqué par de nombreux concerts, où se mêlent théatralité baroque et performances apocalyptiques, jacquy bitch sort un mcd 5 titres où figure l'indispensable "jesus" puis un premier cd "coram" sorti chez Dark Side en 1998.
En 2004, Le clown macabre ressort de l'ombre avec "haine", un album où s'infiltre la modernité d'un electro-rock industriel puisant dans les influences batcave et new wave indissociables de l'univers de jacquy bitch.
>> The Penelopes
Dans la lignée des « musiciens-avant-d’être-ingenieurs-du-son » que sont m83 ou air, the penelopes s’impose, dans un genre plus dansant, comme le renouveau d’une scène électronique française exigeante.
Leur marque de fabrique ? La recherche du gimmick accrocheur, de mélodies travaillées jusqu’à/pour « sonner simples », la volonté de ne pas sacrifier le songwriting à la simple puissance rythmique de la musique dite dancefloor. Ce groupe dance-rock, déjà repéré sur gigolo records, soutenu par la créatrice et mécène agnès b. , apporte une indéniable touche de fraîcheur et de subtilité a la scène electro
