Le festival Latitudes Contemporaines revient du 5 au 28 juin 2025 pour célébrer sa 23ème édition, qui promet d'être haute en couleurs ! Rendez-vous dans les salles de spectacles, jardins de la métropole lilloise pour trois semaines de spectacles, de concerts et de fêtes.
La 23ème édition du festival Latitudes Contemporaines
À Lille et alentours, le festival se déploie sur plus de trois semaines avec une programmation pluridisciplinaire, internationale et engagée, augmentée de fêtes et de temps d’échanges. Artistes émergent·es et grands noms de la scène contemporaine se croiseront lors de concerts hybrides, de banquets chorégraphiques, d’immersions dans des récits d'intimités et de luttes, et de grandes fêtes dansées.
La PROGRAMMATION du festival
7 juin :
- Il y a toujours un enfant oublié quelque part de Nadia Ghadanfar : Chaque année depuis maintenant 15 ans, un groupe de jeunes accompagné·es par l’ALEFPA participe à la création d’une courte forme performative avec un·e artiste invité·e par Latitudes Contemporaines. Cette année, c’est la metteuse en scène et comédienne Nadia Ghadanfar qui a accompagné un groupe de jeunes filles pour tresser ensemble leurs histoires. Au Grand Sud à Lille
Gratuit - 19H30 - Exposition au Couvent des Dominicains par Hadi Rahnaward et Ali Mirzayee (jusqu'au 27 juin) : Hadi Rahnaward est un artiste pluridisciplinaire afghan, qui manie la vidéo, le dessin, l’installation et la performance. Son travail s’appuie sur des médiums ancrés dans le temps : par des processus de répétition, il dépeint l’Histoire contemporaine afghane comme un cercle vicieux d’absurdités qui se répètent. Il présente à Latitudes Contemporaines sa vidéo Captivity, créée en 2021.
Ali Mirzayee est photographe. Né à Bamyan, en Afghanistan, il nous à découvrir la richesse culturelle et la beauté naturelle de sa région natale, à travers Regards sur Bamyan, un travail photographique qui montre la résilience et la vitalité de ses habitant·es. Tous deux résident et travaillent à Lille. Au Couvent des Dominicains, Lille.
Gratuit - 14H30 à 18H00 - Œ de Pierre Pontvianne : Comment les souvenirs tendent-ils à se dissoudre, se transformer et se décliner ? Les matières de cette danse sont des mouvements maintes fois repris, répétés, peaufinés. Elle convoque le passé, le ré-actualise dans une chaîne infinie de sensations qui remontent à la surface des corps. Certaines choses s’inventent dans l’instant, on y trouve aussi des manques, des absences et des creux… Le titre œ condense en sa ligature la fugacité et la force des liens qui dessinent et creusent les vides que nous laissons ; ces liens qui nous traversent et font de nous des passeur·ses. Au Grand Sud de Lille.
Pass Latitudes - 20H00 - Concert & DJ set de Nayra & Asna : Nayra passera de 21H > 22h, sonvisage porte l’héritage fier de ses grands-mères, avec un trait qui relie la bouche au cœur, tissant un lien profond entre son âme et ses ancêtres. Son parcours musical, autodidacte, l’a menée à devenir auteure, compositrice et à revendiquer fièrement son identité de chanteuse de rap. Depuis son adolescence, sa sensibilité, sa vulnérabilité et sa sincérité brute sont la source de sa puissance artistique, nous plongeant dans un univers à la fois sombre et lumineux. Jeune femme aux multiples facettes, elle dévoile à travers ses textes l’urgence de dépeindre son environnement et de revendiquer la place qui lui revient dans ce monde complexe. Son art est le reflet authentique de son être, une invitation à explorer la profondeur de ses émotions et de son vécu, et une affirmation de sa place.
Asna passe de 22h > 23H30 Née en Côte d’Ivoire, Asna se définit comme une exploratrice sonore. Elle porte une attention particulière aux rythmes traditionnels qui ont influencé la musique africaine contemporaine. Elle explore une nouvelle vision des rythmes, qui inclut des sonorités très percussives baignées dans un univers club. Mélangeant à cela des patterns de rythmes traditionnels tout en y intégrant les possibilités illimitées offertes par la musique électronique Principales apparitions : Boiler Room, Fusion Festival (Allemagne), ADE festival (Amsterdam), Glastonbury Festival (UK)... Elles passeront à la Gare Saint Sauveur à Lille.
Gratuit - 21H00 à 23H30 - Dear Laila de Basel Zaraa (du 7 au 9 juin) : Dear Laila partage l’expérience palestinienne du déplacement et de la résistance à travers l’histoire d’une famille, en explorant comment la guerre et l’exil sont vécus à travers le quotidien, le domestique et l’espace public. Installation intime et interactive, vécue par un·e seul·e spectateur·rice à la fois, Dear Laila s’appuie sur des souvenirs et des détails tactiles pour redonner vie à ce lieu aujourd’hui détruit. Représentation à la Gare Saint Sauveur de Lille.
Gratuit - 14H00 à 19H00
8 juin
- Œ de Pierre Pontvianne : Comment les souvenirs tendent-ils à se dissoudre, se transformer et se décliner ? Les matières de cette danse sont des mouvements maintes fois repris, répétés, peaufinés. Elle convoque le passé, le ré-actualise dans une chaîne infinie de sensations qui remontent à la surface des corps. Certaines choses s’inventent dans l’instant, on y trouve aussi des manques, des absences et des creux… Le titre œ condense en sa ligature la fugacité et la force des liens qui dessinent et creusent les vides que nous laissons ; ces liens qui nous traversent et font de nous des passeur·ses. Au Grand Sud de Lille.
Pass Latitudes - 18H00 - Laboratoire Poison de Adeline Rosenstein : Laboratoire Poison est la restitution théâtrale de quatre laboratoires de recherche sur les mouvements de résistance à travers l’Histoire. Un monument de théâtre documentaire, et un hommage percutant aux luttes pour la liberté. A La Condition Publique de Roubaix.
17H00 - DJ set de 102 & NGAIO : 102 passe de 20h à 21h30 Immergée depuis quelques années dans la culture sound system, 102 aime jouer avec les époques et les sonorités au kick bien appuyé et aux mélodies aériennes. Après avoir fait ses classes en Bretagne, elle s’installe à Paris dans une résidence aux Disquaires avec son sound «Heels Up». Ouverte aux fusions musicales et en recherche de nouveautés , elle inscrit dans ses sets une richesse musicale sans barrières de styles.
NGAIO passe de 21h30 à 23h30 Chanteuse-DJ-bête de scène, NGAIO peut passer d’un DJ set d’enfer à des harmonies de jazz complexes avec une voix qui aurait pu sortir des années 1940, en passant par des paroles qui touchent en plein cœur. On l’avait tellement aimée en 2022 qu’on la réinvite à Latitudes Contemporaines : à la Gare Saint Sauveur, elle enverra un mix composé de sons du monde entier et de messages qui comptent, mélangeant Afro, Baile, Dancehall, Reggaeton, UK Funky et peut-être même un peu de Drum & Bass pour tous·tes les ravers ! Retrouvez-les à la Gare Saint Sauveur à Lille.
Gratuit - 20H00 à 23H30
9 juin :
- Comme Sur des roulettes Roller Party à la Gare Saint Sauveur : Après le succès éclatant de la première roller party du festival en 2023, Latitudes Contemporaines renouvelle l’expérience en donnant carte blanche au collectif Comme sur des Roulettes, pour un dimanche après-midi familial et survitaminé ! (initiations possibles). Qu’est-ce qui pourrait être encore mieux que de danser éperdument sur tes morceaux préférés ? C’est de le faire sur des patins à roulettes, bien sûr ! Ça tombe bien, c’est LA spécialité de OK BOOMBOOMER ! Rejoins la roller party spéciale « guilty pleasures » qu’on a préparée pour toi : on vise ton amusement optimal, et on a vraiment hâte de voir tes meilleures chorégraphies sur ces musiques superficielles mais tellement excitantes dont tu connais les paroles par cœur !
Gratuit - 15H00 à 19H00
11 juin :
- Cavaliers Impurs avec Latifa Laâbissi et Antonia Baehr dans une installation visuelle de Nadia Lauro : Cavaliers Impurs est la nouvelle pièce du duo incontournable et impertinent Latifa Laâbissi et Antonia Baehr : c’est un cabaret exaltant, burlesque et queer, dans une boîte en carton géante conçue par Nadia Lauro. À la Maison Folie Wazemmes de Lille.
Pass Latitudes - 20H00
13 juin :
- Le Goût du Drame de Léa Dubois : Un personnage, mi danseuse, mi gymnaste, évolue tout au long de sa démonstration physique. C’est une étincelle qui va s’enflammer : cette athlète est montée sur scène dans le but d’y mettre le feu. Le goût du drame, c’est sa traversée dans sa prestation : un mélange de dépassement de soi et d’abandon au simple plaisir de danser. Sur une scène où tout est transformable, du costume à la scénographie en passant par la musique, Léa Dubois nous invite à voir l’exceptionnel dans les choses simples et à apprécier la puissance des microévolutions. Représentation à la Maison Folie Wazemmes de Lille pour la première française.
Pass Latitudes - 20H00 - Sommerspiele de Eszter Salamon : Un personnage ressemblant à l’artiste d’avant-garde allemande Valeska Gert déambule dans une architecture imposante, construite pour célébrer des valeurs fascistes. À la fois intrus, agitateur et figure perturbatrice, son corps nu défie les idéologies du passé et interroge la violence que subissent les corps, encore aujourd’hui. L’architecture des lieux porte les traces de la violence nazie et de la relation complexe que certain·es artistes entretenaient avec le régime, quand d’autres, dont Valeska Gert, étaient considéré·es comme créateur·rices d’un “art dégénéré”. Avec en toile de fond les bâtiments utilisés aujourd’hui pour le sport professionnel, le divertissement et les loisirs de masse, Eszter Salamon révèle des liens entre le passé, le présent et les défaillances de la mémoire collective, en activant une forme de résistance poétique. Sommerspieleaborde avec puissance la question de la mémoire et de la capacité de résistance de l’art, ainsi que la relation entre nationalisme, fascisme, et sport.
Gratuit - 20H45 - La Fracture de Yasmine Yahiatène : Utilisant la vidéo et le mapping comme matières premières et partenaires de jeu, Yasmine Yahiatène sonde les failles de sa relation douloureuse et interrompue avec son père, pour retrouver son chemin parmi les fragments d’héritage qu’elle porte en elle et qui lui semblent si lointains. D’archives personnelles en documents historiques, les images s’entremêlent, et la mémoire d’Ahmed se recompose par bribes : ses origines kabyles, son exil vers la France en pleine révolution, la perte de sa langue maternelle, qu’il délaisse en assimilant peu à peu la culture de la puissance coloniale… Mais aussi la liesse, la finale de la Coupe du Monde 98, les deux buts de Zidane, version glorieuse d’une mémoire franco-algérienne peuplée de cicatrices. Et, entre ces deux rives, l’alcool, comme un mauvais remède face à ce passé décomposé. Représentation à la Maison Folie Wazemmes, Lille.
Pass Latitudes - 21H30
14 juin :
- Sparks de Francesca Grilli (À partir de 18 ans) : Sparks repose sur un dispositif simple, mais radical : les enfants inventent l’avenir, les adultes doivent se taire et écouter. Après quelques jours d’ateliers, un groupe d’enfants lillois·es proposera aux spectateur·rices adultes une lecture des lignes de leurs mains. Un point de contact entre différentes générations, par lequel les enfants deviennent les créateur·rices de leur vision de l’avenir. Iels deviennent des oracles, des porteur·ses de connaissances mystiques, des détenteur·rices de pouvoirs magiques. Leurs visages sont cachés par des masques, et leurs voix nous racontent nos destins, comme un geste d’espoir et de rupture avec le passé : oserons-nous les écouter ? En représentation à la Médiathèque Jean Lévy, Lille pour la première française.
Gratuit - 18H00 à 18H30 / 19H00 à 19H30 - Outrar de Calixto Neto : Outrar est un projet initié par la chorégraphe Lia Rodrigues : retenue au Brésil en pleine crise du covid-19, elle a pensé le projet pour être activé par des performeur·ses brésilien·nes installé·es en Europe. À travers une bande sonore commune et une liste d’instructions chorégraphiques, les danseur·ses ont travaillé dans un dialogue à distance. Ce travail collectif a donné naissance à trois versions d’Outrar, dont celle de Calixto Neto, pour laquelle il a choisi un chemin bifurqué. Comment incarner l’autre à partir d’un corps déjà socialement « autre » ? Un corps sans visage, sans identité définie ; un corps reconnaissable uniquement dans son pouvoir de perturber la norme, un corps déviant. Dans la friction entre l’élan de devenir l’autre et l’impossibilité d’être l’autre, il se retrouve lui-même et fait de son corps un lieu de pouvoir et de transformation. À la Médiathèque Jean Lévy, Lille.
Gratuit - 20H00 - La vie n'est pas utile (ou c'est comme ça) de Bruno Freire : Si la vie n’est pas utile, la danse ne l’est pas non plus…Quand bien même, Bruno Freire (re)trouve le merveilleux dans les deux, avec un solo conférence-dansée basé sur les textes poignants du philosophe et activiste Ailton Krenak. EN représentation à la Médiathèque Jean Levy, Lille.
Gratuit - 21H00
15 juin :
- Mirlitons de François Chaignaud et Aymeric Hainaux : Qu’est-ce qui meurt et danse encore ? Mirlitons naît de la rencontre entre le chorégraphe François Chaignaud et le musicien Aymeric Hainaux : une performance totale, d’une intensité fulgurante. À voir au Couvent des Dominicains à Lille.
Pass Latitudes - 17H00 - Sparks de Francesca Grilli (À partir de 18 ans) : Sparks repose sur un dispositif simple, mais radical : les enfants inventent l’avenir, les adultes doivent se taire et écouter. Après quelques jours d’ateliers, un groupe d’enfants lillois·es proposera aux spectateur·rices adultes une lecture des lignes de leurs mains. Un point de contact entre différentes générations, par lequel les enfants deviennent les créateur·rices de leur vision de l’avenir. Iels deviennent des oracles, des porteur·ses de connaissances mystiques, des détenteur·rices de pouvoirs magiques. Leurs visages sont cachés par des masques, et leurs voix nous racontent nos destins, comme un geste d’espoir et de rupture avec le passé : oserons-nous les écouter ? En représentation à la Médiathèque Jean Lévy, Lille pour la première française.
Gratuit - 15H00 à 15H30 / 16H00 à 16H30
16 juin :
- Mirlitons de François Chaignaud et Aymeric Hainaux : Qu’est-ce qui meurt et danse encore ? Mirlitons naît de la rencontre entre le chorégraphe François Chaignaud et le musicien Aymeric Hainaux : une performance totale, d’une intensité fulgurante. À voir au Couvent des Dominicains à Lille.
Pass Latitudes - 17H00
18 juin :
- Table Ronde - l'Invisibilité des femmes dans la culture, animée par Hélène Frappat, Nicolas Truong, Morgane Bourhis, Jenny Bernardi, Réjane Sourisseau et Mamela Nyamza
Gratuit - 18H00 - Hatched Ensemble de Mamela Nyamza (Audiodescription) : La chorégraphe et activiste Mamela Nyamza invite 12 performeur·ses à revisiter l’une de ses premières pièces solos : HATCHED ENSEMBLE transmet une énergie et une beauté radicales, et fait voler en éclat les normes et les carcans. Au Grand Sud, à Lille.
Pass Latitudes - 20H00
19 juin :
- Filles-Pétroles de Nadia Beugré : Pour Filles-Pétroles, la chorégraphe Nadia Beugré brosse le portrait ardent d’Aya et Christelle, danseuses de roukasskass et coupé-décalé rencontrées à Abobo, le quartier d’Abidjan où Nadia a grandi. Sur scène à L'Oiseau-Mouche de Roubaix.
Pass Latitudes - 20H00 - Radio live - Vivantes avec Amélie Bonnin et Aurélie Charon : Depuis plus de 10 ans, de la radio au théâtre, Radio live porte la voix d’une jeunesse engagée à travers le monde. Pour ce nouveau volet scénique, ce sont quatre femmes de Syrie, de Bosnie, d’Ukraine et d’Israël qui racontent leurs histoires et leurs luttes. A la Maison Folie Wazemmes de Lille.
Pass Latitudes -
20 juin :
- Filles-Pétroles de Nadia Beugré : Pour Filles-Pétroles, la chorégraphe Nadia Beugré brosse le portrait ardent d’Aya et Christelle, danseuses de roukasskass et coupé-décalé rencontrées à Abobo, le quartier d’Abidjan où Nadia a grandi. Sur scène à L'Oiseau-Mouche de Roubaix.
Pass Latitudes - Radio live - Vivantes avec Amélie Bonnin et Aurélie Charon : Depuis plus de 10 ans, de la radio au théâtre, Radio live porte la voix d’une jeunesse engagée à travers le monde. Pour ce nouveau volet scénique, ce sont quatre femmes de Syrie, de Bosnie, d’Ukraine et d’Israël qui racontent leurs histoires et leurs luttes. A la Maison Folie Wazemmes de Lille.
Pass Latitudes - Walk Of Honor (پیاده روی افتخار ) de Kubra Khademi : À l’occasion de la journée mondiale des réfugié·es, Kubra Khademi invite les femmes qui le souhaitent à la rejoindre au cours d’une marche d’une journée, pour honorer leurs histoires.
Gratuit
25 juin :
- Anda Diana de Niepce : “Je veux parler de ce que nous cachons.” À la suite d’un accident, Diana Niepce a perdu une grande partie de sa mobilité. Dans Anda, Diana, elle nous offre un partage sensible de la longue traversée qui l’a ramenée à la danse, tout en questionnant nos regards sur les corps non normatifs. A la Maison Folie Wazemmesà Lille.
Pass Latitudes
26 juin :
- Black Lights de Mathilde Monnier : “Il y a quelque chose qui ne va pas. Il y a quelque chose qui ne passe pas”. Inspiré de la série H24, Black Lights est un spectacle-manifeste qui expose, avec puissance et sans détour, le spectre glaçant des violences patriarcales. A voir au Grand Sud de Lille.
Pass Latitudes - La Grotte de Pol Pi : Le travail chorégraphique de Pol Pi circule dans les métamorphoses, les devenirs autres. Dans la grotte, il compose une chorégraphie à la manière d’une visite guidéed’une grotte pariétale, comme une porte d’entrée pour se connecter à des existences aussi bien humaines que non humaines. En représentation au Grand Sud de Lille.
Pass Latitudes
27 juin :
- LIVE de Stéphanie Aflalo : Sur scène, l’artiste invite les spectateur·rices à rejouer aux jeux auxquels jouent chaque soir chaque idole et chaque public dans chaque Zénith. Partant d’un cadre social extrêmement reconnaissable (un concert pop), engendrant des comportements stéréotypés (la vedette qui jette ses reliques à la foule, la foule qui hurle d’enthousiasme), Stéphanie cherche à refonder la relation star-fan sur plus de transparence et d’équité. A La Fileus de Loos.
Pass Latitudes - Losing It de Samaa Wakim et Samar Haddad King : Dans Losing it, les deux artistes palestiniennes Samaa Wakim et Samar Haddad King interrogent, par la danse et la musique, comment l’expérience de grandir dans une zone en guerre joue dans la construction de leurs identités. En représentation à la Maison Folie Wazemmes, Lille
Pass Latitudes - Rencontre - Préserver son corps de danseur.se avec Pol Pi, Babette Amand, Damien Noudelmann et Fabienne Zanati : Le 27 juin, de 18h à 20h à la Maison Folie Wazemmes, un temps d’échange et d’atelier sera mené en partenariat avec le Flow – Centre Eurorégional des cultures urbaines, autour des enjeux du care dans la danse contemporaine et les danses urbaines, animé par Pol Pi (chorégraphe), Babette Amand (professeure de danse et sophrologue), Damien Noudelmann (danseur et kinésithérapeute) et Fabienne Zanati (professeure de danse). Après un training collectif, un temps d’échange aura lieu avec les intervenant·es.
28 juin :
- While we are here de Lisa Vereertbrugghen : Dans While we are here, Lisa Vereertbrugghen explore le désir intemporel de danser fort et ensemble. Une hybridation débridée entre techno et danses populaires. A L'Aéronef de Lille.
- DJ set de Von Bikräv + Lori Booster : Pour clôturer en beauté et en sueur l’édition 2024 du festival, on mettra en pratique collective ce désir d’entrer en transe de danse, avec deux DJ sets explosifs. Rendez-vous à L'Aéronef de Lille.
