C’est avec une passion évidente pour la création lumière, qu’il développera dix années durant dans un théâtre, qu’apparaissent les premières lueurs de No N’Aime dans l’esprit de David dit Bloblo, guitariste, compositeur et auteur depuis l’âge de vingt ans, influencé par des icônes comme Neil Young ou encore Bob Dylan. Rien est alors clairement défini mais l’envie de créer un projet personnel murît peu à peu. Bloblo fait la connaissance d’un chanteur et d’un batteur auxquels vient se greffer un second guitariste. La formation débute les répétitions…
Néanmoins, le rêve a un goût amer, loin des espérances, le batteur et la voix s’éloignent rapidement du groupe. Ce n’est que partie remise car le véritable but est maintenant clairement établi : créer un groupe de Rock aux compositions originales !
Peu de temps après, les deux guitaristes sont rejoints par un nouveau batteur, Eric, autodidacte depuis ses seize ans, bercé par le rock de Dire Straits ou Pat Benatar et un bassiste, Romuald, six années de basse marquées par les Red Hot Chili Peppers ou Jamiroquaï. Le feu commence à prendre…
Faute de chanteur, Bloblo décide d’endosser ce rôle supplémentaire mais il ne peut s’exprimer pleinement à la guitare, instrument qu’il privilégie. Une autre voix arrive alors mais, en désaccord avec la musique, l’émotion des compositions retombe et un nouveau style vocal est désiré par les membres du groupe. Le projet commençant à se préciser, le second guitariste décide de quitter l’aventure, pas vraiment prêt à partir à l’abordage de la notoriété régionale et des scènes alentours.
Finalement, après plusieurs échanges sur le net, un chanteur de la région, Fred, derrière un micro depuis l’âge de quinze ans et dans la tête les sons de U2 ou Sting, rescapé d’un groupe de rock progressif, rejoint le groupe et No N’Aime trouve enfin sa forme définitive pour partir sérieusement à la conquête de son public.
Avec ses compositions de rock français, où les rythmes enivrants d’Eric dit Ricky, le groove de Romuald, la magie de Bloblo et l’émotion de Fred Tanto, No N’Aime fera peut-être la différence…
